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 Coïncidences curieuses de Jean Moisset

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Orion
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Orion


Date d'inscription : 17/11/2011
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MessageSujet: Coïncidences curieuses de Jean Moisset   Coïncidences curieuses de Jean Moisset EmptyLun 13 Mai - 17:36

Coïncidences curieuses

Les deux Richter
En 1915, deux soldats furent admis séparément à l'hôpital militaire de Katowice en Bohême. Tous deux avaient 19 ans, souffraient de pneumonie, étaient nés en Silésie, volontaires dans le Train des Equipages et s'appelaient Franz Richter.

Le scarabée de Jung
Au cours de son traitement, une patiente de Jung lui raconte un rêve où elle recevait en cadeau un scarabée d'or. Au même moment, il entendit un bruit à la fenêtre provoqué par un insecte. Il le captura et constata qu'il s'agissait d'un scarabéïdé de la famille des lamellicornes, le plus proche du scarabée qu'il soit possible de trouver sous nos latitudes.

Le chien.
En 1955, Emile M. décida d'abattre son chien malade. Il l'attacha au fond du jardin et tira. La balle traversa la haie et tua une dame qui passait dans la rue. Il s'agissait de Mademoiselle Le Chien.

L'aide des «anges encyclopédiques»
Vous cherchez dans une librairie un renseignement figurant dans un ouvrage dont vous ne vous souvenez plus le titre. En fouillant en haut d'une étagère, vous faites tomber par maladresse une dizaine de livres dont un s'ouvre lors de la chute. A votre grande surprise, le renseignement que vous recherchez se trouve sur l'une des deux pages du livre ouvert sur le sol. Arthur Koestler parlait de l'aide des anges encyclopédiques !

Le voyage en ballon de Camille Flammarion
Camille Flammarion décida de faire son voyage de noces en ballon en proposant au curé qui avait béni son mariage de l'emmener. Celui-ci accepta volontiers. Mais la veille du départ, il fut prévenu que l'abbé était allé passer plusieurs jours chez des parents au bord de la Marne. Finalement, Camille Flammarion partit quand même avec son épouse et par un concours de circonstances vraiment extraordinaire, le ballon fut dirigé par le vent juste au-dessus du jardin où l'abbé était en train de déjeuner.

Plus rapide que la poste
En 1984, un membre du parlement européen est chargé d'expédier 42 lettres depuis Londres. Avant de prendre l'avion, il introduit les enveloppes dans la fente d'une boîte aux lettres à l'aéroport d'Heathrow. L'une d'elle lui échappe et tombe à terre. Un Canadien, en transit par la Grande-Bretagne qui se trouvait à côté, la ramasse obligeamment ; c'est lui le destinataire!

Le plum-pudding de Monsieur de Fontgibu
Emile Deschamps, auteur du livret "Les Huguenots", a raconté dans ses mémoires une étrange histoire qui lui est arrivée. Lorsqu'il était enfant, en pension à Orléans, il fut invité avec des camarades chez Monsieur de Fontgibu où il dégusta un délicieux plum-pudding. Dix ans plus tard, à Paris, dans un restaurant du quartier de l'Opéra, où il déjeunait, il remarqua un magnifique plum-pudding, ce qui lui rappela des souvenirs. Au dessert, il demanda une part de gâteau, mais on lui, répondit que celui-ci était retenu par un client. Il reconnut alors avec surprise Monsieur de Fontgibu. Ce dernier accepta de lui laisser une part. De nombreuses années passèrent à nouveau, puis un jour, Emile Deschamps est invité à dîner par une dame de ses relations, laquelle lui précise qu'il y aura du plum-pudding au menu.
Au moment du repas, le domestique annonce Monsieur de Fontgibu. Emile Deschamps croit à une plaisanterie de ses amis, mais il voit entrer un très vieil homme, marchant difficilement, qu'il reconnaît avec stupéfaction. Monsieur de Fontgibu invité par une autre personne habitant l'immeuble, s'était trompé d'étage.

Les jumeaux Fritz et Emma Meinert
Fritz Meinert, ancien peintre en bâtiment, avait été grièvement blessé, le 2 octobre 1971, au cours d'un accident d'auto qu'on avait caché à sa soeur. Or, au même instant, à Bielefeld, Emma Meinert, soeur jumelle de l'accidenté, ressentit de vives douleurs et dut s'aliter. Comme l'état de son frère empirait, le sien empira aussi. Et, cinq heures après que Fritz eut rendu le dernier soupir, Emma, ignorant le décès de son frère, succombait à son tour. Nés le même jour, ils moururent le même jour, âgés de 84 ans. (Revue Métapsychique).

Cinq naufrages et le destin
En 1820, Peter Richley après cinq naufrages consécutifs fut recueilli par le paquebot "City of Leeds" qui se rendait en Australie. A bord se trouvait une vieille dame qui recherchait son fils disparu depuis près de dix ans. Très souffrante, elle le réclamait dans son délire. Craignant que la pauvre femme soit mourante, un médecin demanda à Peter Richley, qui correspondait à la description qu'elle lui avait faite quelques jours avant, de se faire passer pour son fils afin d'adoucir ses derniers instants. Quelle ne fut pas la stupéfaction de ce dernier, lorsqu'il reconnut sa mère, Sarah Richley, laquelle se rétablit rapidement.

Une étrange rencontre liée au passé
M. Michel Mosser, éminent architecte ayant conçu, entre autres, le Mémorial du Général de Gaulle à Colombey-les-deux-Eglises, nous a communiqué la surprenante synchronicité suivante : "En octobre 1943, je me suis évadé d'Alsace annexée pour ne pas être incorporé de force dans l'armée allemande. Le réseau qui s'est occupé de mon évasion se trouvait à Metz, en Lorraine, le contact était assuré par deux personnes âgées, les demoiselles Haas. Pendant plusieurs jours, j'ai été caché chez des gens dont j'ai ignoré le nom, on me dissimulait sous un tas de linge sale au fond de la buanderie. Quarante-cinq ans plus tard, Pierre Haas (*), directeur des services vétérinaires, ayant soigné amicalement un grand chien que nous avions, pour le remercier, nous organisons un repas chez nous près de Nice à l'occasion de son mariage. Je suis à côté de sa belle-mère, Mme X., avec qui nous évoquons le passé et en particulier des souvenirs de nos provinces de l'Est. Au cours de l'entretien, j'apprends que cette personne réside à Metz et, tout naturellement, j'en viens à évoquer mon passage dans cette ville en 1943. A mon grand étonnement, cette dame, très émue, me précise certains détails de mon évasion et nous découvrons effarés que c'est chez elle que j'étais caché".
(*) Sans rapport familial avec les demoiselles précitées.

Une étrange rencontre (21 avril 1988)
Bien qu'habitant désormais Nice, je préfère me faire hospitaliser dans la région parisienne où réside ma famille. C'est ainsi que mon médecin traitant me dirige sur l'hôpital Necker. Le chirurgien consulté le 14 avril me fixe un rendez-vous le jeudi suivant 21 avril, pour une urographie intraveineuse. L'examen étant prévu à 8 h 45, je me suis présenté une demi-heure avant, soit vers 8 h 15. La préposée au service radiologique me dit que j'ai une demi-heure de retard, l'examen d'après elle devant avoir lieu à 7 h 45. Après avoir vu ma convocation qui indique 8 h 45, elle pense que sa collègue s'est trompée. Juste derrière moi arrive un homme, ayant à peu près mon âge. Il se présente en déclarant s'appeler Jean Moisset et s'excuse d'avoir une demi-heure de retard, car il avait rendez-vous à 7 h 45, comme pour moi, à la demande du service d'urologie, mais pour un examen différent, avec anesthésie. Le nom de Moisset n'est pas très répandu, la concordance de prénom, les circonstances de notre arrivée presque simultanée au service de radiologie, et le fait que nous étions envoyés tous les deux par le service d'urologie, font qu'il est peu probable qu'il s'agisse d'un simple hasard. En outre, en ce qui me concerne, cette coïncidence s'ajoute à beaucoup d'autres auxquelles je fus confronté au cours de ces derniers mois.

Le monde est vraiment petit
M. Freytag, nous a fait part de l'extraordinaire coïncidence ci-après : "J'avais remarqué, rue Gioffredo à Nice, une boutique libre à vendre qui pouvait éventuellement m'intéresser. Je relève donc sur la devanture le n° de téléphone (à Paris) à contacter le cas échéant. A quelques jours de là, je monte à Paris pour placer chez des détaillants l'article dont je suis le distributeur. Lors de ma tournée, me voilà dans le 20e arrondissement, avenue Gambetta (*) je propose mon article à un commerçant de l'avenue et, en sortant de chez lui, j'avise une cabine téléphonique en face de sa boutique. J'en profite pour appeler le n° de téléphone relevé à Nice, et je m'entretiens avec ma correspondante. Je raccroche le combiné et je m'apprête à donner un second coup de fil pour un autre motif. A ce moment là, j'entends frapper à la porte de la cabine. Une dame me demande si je suis bien M. Freytag. Devant mon étonnement, elle explique qu'un M. Freytag vient de lui téléphoner à l'instant au sujet d'une boutique niçoise à vendre. Coïncidence incroyable, elle se trouvait dans le magasin lors de ma visite à son fils, et me revoyant dans la cabine pendant la communication, elle devina que j'étais peut-être son interlocuteur. Lorsqu'elle me vit reposer le combiné du téléphone en même temps qu'elle, à la fin de notre conversation, elle ne put résister au désir de vérifier la justesse de son intuition. Des amis niçois l'avaient chargée d'être intermédiaire en vue de la vente de leur boutique rue Gioffredo".
(Raconté à Jean Moisset par son voisin de palier, M. Freytag.
(*) Curieusement les cousins de Jean Moisset qui habitent cette avenue ont été mêlés indirectement à des coïncidences avec des occupants de l'appartement en face de celui de M. Freytag.

Avis de passage
Le chroniqueur TV de Chicago, Irv Kupcinet raconte l'aventure suivante: "Je venais d'enregistrer mes bagages à l'hôtel Savoy de Londres. Ouvrant un tiroir dans ma chambre, je constatai, à ma grande surprise, qu'il contenait quelques objets personnels appartenant à un de mes bons amis, Harry Hannin, imprésario de l'équipe des Harlem Globe-Trotters." " Deux jours plus tard, je reçus une lettre de Harry, postée de l'hôtel Meurice à Paris qui commençait en ces termes:"Tu ne vas pas me croire..." Apparemment, Harry, ouvrant un tiroir de sa chambre avait découvert une cravate avec mon nom dessus ! J'avais séjourné là quelques mois plus tôt..."
D'après la monographie Incredible Phenomena, éditée par Peter Brookesmith, Orbis.

Le numéro d'immatriculation
Ayant volé une voiture en région parisienne, un malfaiteur change le n° d'immatriculation et part dans le Sud-Est. A Avignon, il s'arrête prendre de I'essence. Une autre voiture vient se placer à côté de la sienne. Quelques minutes après, il est arrêté, le garagiste ayant prévenu la police après avoir remarqué que les n° d'immatriculation des deux voitures étaient identiques.

Le portefeuille retrouvé
Antoine Blondin, l'un des meilleurs écrivains de sa génération et joyeux amateur de bons vins, racontait comment un jour il fut en difficulté à l'aéroport de Londres, car, en arrivant à la douane, il ne retrouva pas ses papiers qu'il était sûr pourtant de posséder au départ de Paris, où il les avait présentés au policier de service. Le temps qu'un employé de la compagnie aille regarder dans l'avion s'il ne les y avait pas oubliés, on fit patienter Blondin dans un salon pour VIP où fonctionnait un bar bien achalandé. Comme de bien entendu, notre voyageur pour se remettre de ses émotions, commanda un verre de vin, puis, un autre. A un moment donné, le téléphone sonna et le barman répondit; faisant patienter son correspondant, il écrivit sur une ardoise blanche le nom d'Antoine Blondin. Le Français, étonné, s'enferma dans la cabine pour répondre à l'appel. C'était un certain Dr Cartier, de passage à Londres, qui avait retrouvé le portefeuille contenant le passeport et autres papiers d'Antoine et qui l'appelait à son numéro parisien figurant dans son répertoire! Par quel mystère ou quelle magie cet appel avait rejoint Antoine Blondin non à son domicile, mais directement à l'endroit où il se trouvait? Autre coïncidence, le Dr Cartier appelait Blondin d'une cabine proche du salon d'attente où se trouvait le Français, et put lui remettre en mains propres le portefeuille perdu. (Marc Schweizer - Science & Magie)

Les 6 Holden
En 1928, à Blackburn, un accident d'automobile permet l'étrange rencontre de six personnes dont le patronyme est Holden. Des deux voitures entrées en collision, l'une appartenait à un Holden, elle était conduite par un Holden qui avait auprès de lui un domestique nommé Holden. L'autre avait pour propriétaire un autre Holden et le chauffeur s'appelait Holden. L'agent qui vint établir le procès-verbal s'appelait lui aussi Holden.

Le cas extraordinaire des deux Jim
Jim Lewis et Jim Springer, frères jumeaux nés en 1939 et séparés après leur naissance, furent très surpris de la similitude de leur vie lorsqu'ils se retrouvèrent à l'âge de 40 ans :
- ils ont été prénommés Jim par leur famille adoptive;
- le prénom de leur frère adoptif est Larry;
- leur première épouse s'appelait Linda;
- leur épouse en secondes noces se prénommait Betty;
- ils eurent chacun un fils, l'un se prénommait James Allan, l'autre, James Alan; tous les deux se rongent les ongles;
- ils avait chacun un chien appelé Toy;
- tous les deux ont été adjoints de shérif, ont travaillé dans un restaurant Mac Donald ainsi que dans des stations services;
- ils possédaient le même modèle de voiture Chevrolet bleue;
- ils buvaient la même marque de bière et fumaient des cigarettes de la même marque;
- leurs loisirs étaient semblables, notamment pour le bricolage et ils passaient leurs vacances sur une plage en Floride dans la même localité
(Daily Mirror, 1978; cité dans La chance et le hasard - Collection : l'Univers de l'Etrange - Editions Time Life Magazine, 1992.)

Le roi et son sosie
Le 28 juillet 1900, le roi Umberto 1er d'Italie se rendait à Monza où le lendemain il devait remettre des prix à l'occasion d'une compétition d'athlétisme. Le soir, il dîna dans un petit restaurant et remarqua que le patron lui ressemblait étrangement physiquement et d'allure. Au cours de la conversation avec lui, le roi fut complètement sidéré devant la fantastique série de coïncidences existant entre eux :
- tous deux étaient nés le 14 mars 1844 dans la même localité
- ils se prénommaient Umberto;
- ils s'étaient mariés le 22 avril 1980 avec une femme appelée Margherita;
- chacun avait un fils prénommé Vittorio;
- Umberto avait ouvert son restaurant le jour du couronnement du roi Umberto 1er;
- ils avaient été décorés chacun par deux fois pour actes de bravoure.
Tous les deux eurent une fin tragique marquée par une ultime et étrange coïncidence.Venant d'apprendre que son sosie avait été tué dans un accident de chasse, le roi Umberto tombait quelques instants plus tard sous les balles de l'anarchiste Bresci mêlé à la foule.
(Selon Ripley Ghost Stories and Plays.)

La bague de fiançailles
Peter Richardson voulait offrir une bague originale à sa fiancée Anne. Un jour, il se rendit à Birmingham, puis sans raison, traversant une rue, il pénétra dans une boutique à la vitrine opaque. Sa fiancée se trouvait à l'intérieur où elle examinait un diamant monté sur un anneau d'or qui semblait lui convenir parfaitement. Aussitôt, Peter l'acheta. Peu après, il s'aperçut que le bijou était gravé A 23 P, soit A pour Anne, 23 qui correspondait au jour prévu de leur mariage, et P pour Peter.

Carte postale miroir
Durant la seconde guerre mondiale, tandis qu'il servait dans l'armée, Arthur Butterworth, de Skipton, Yorkshire, commanda un livre d'occasion sur la musique chez un bouquiniste de Londres. Le livre lui fut envoyé à son camp - déguisé par les habituels codes postaux militaires dans les bas fonds de Taverham, près de Norwich. Se tenant à la fenêtre de son baraquement, il ouvrit le colis et il en tomba une carte postale probablement utilisée comme marque page par le possesseur précédent du livre. Ce qui était écrit au dos montrait qu'elle avait été libellée le 3 août 1913. A son grand étonnement, quand il retourna la carte, il vit stupéfait que la photo représentait précisément le paysage exact de ce que l'on pouvait voir depuis sa fenêtre présentement...Taverham Hall... (Peter Brookesmith, Incredible Phenomena, Orbis, Londres, 1984.)

Les deux Payet et les deux Camelin
Il y a quelques années, mon ami Joseph Camelin, du "Progrès de Lyon", préparait un ouvrage historique et dans ce but faisait des recherches aux Archives départementales du Rhône. Compulsant un jour un registre de l'Officialité diocésaine 1750/1752, il vit, sur la page de gauche du livre, ouvert aux pages 11 et 12, en grosses lettres : Louis Payet de Saint-Priest. Ce nom était suivi de l'indication d'une certaine dispense accordée par l'autorité diocésaine. Cela fit penser mon ami à son voisin d'étage : Louis Payet, originaire de Saint-Priest. Seuls locataires du 3ème étage de l'immeuble du quai Claude Bernard, leur porte était vis-à-vis. On imagine la surprise du scruteur d'archives quand, portant les yeux sur la page 12, de droite, il vit, à la même hauteur, en vis-à-vis quasi exact : Joseph Camelin, et l'énoncé d'une dispense. Un Louis Payet et un Joseph Camelin étaient depuis 1750/52 "voisins d'étage" dans un registre, comme en 1934 leurs homonymes l'étaient Quai Claude Bernard. Curieuse coïncidence quand elle se présente brusquement à l'un des intéressés. A noter que mon ami Joseph Camelin est originaire du département de la Creuse et n'a été amené à habiter Lyon qu'en raison de circonstances exceptionnelles.
(Selon le Dr E. Osty - Revue Métapsychique de janvier-février 1937, pages 56 et 57.

Un paquebot victime de la loi des séries
Commencée en 1937 aux Pays-Bas, la construction de l'Achille Lauro, appelé provisoirement numéro 214, fut interrompue en 1941 à la suite de l'invasion de l'armée allemande.
Le navire fut finalement lancé en 1946 et baptisé Willem Ruys . Son nom, à l'origine, devait être Ardjoena. Or, il existe une superstition selon laquelle le fait de changer le nom d'un bateau avant qu'il prenne la mer risque d'être de mauvaise augure pour la destinée de celui-ci. Un armateur italien, Achille Lauro, le rachète en 1966 et lui donne son nom. Après avoir été affecté à des transports d'immigrés, le navire est transformé en 1970 en paquebot de croisière.
A partir de ce moment là, l'Achille Lauro connaît une longue série d'avaries, d'incidents et d'accidents divers dont voici un résumé.
En 1971, le paquebot heurte un bateau de pêche napolitain ; un mort à déplorer.
Alors qu'il est à quai dans le port de Gênes, en 1972, un incendie dû à un acte de malveillance se déclare à bord. Ensuite lors d'une croisière au cours de l'année 1975 dans les Dardanelles, l'Achille Lauro heurte un cargo libanais dont 4 marins sont portés disparus.
En 1976, les douaniers italiens saisissent dans sa cargaison des machines à sous embarquées illégalement.
Tout va bien jusqu'à 1981. Cette année là, un incendie se déclare à bord du navire au large des îles Canaries. Deux passagers pris de panique se jettent à l'eau et périssent noyés. Les autorités des îles Canaries saisissent le paquebot en 1982 à la requête de créanciers allemands.
Au cours de l'été 1985, un commando de terroristes palestiniens détourne l'Achille Lauro et prend en otages son équipage et ses passagers. L'un de ces derniers, un touriste américain handicapé, est jeté à la mer dans son fauteuil roulant.
L'année suivante, lors d'une croisière en Egypte, le paquebot s'échoue dans un banc de sable près d'Alexandrie et connaît ensuite une alerte à la bombe.
En 1987, cinq ans après le décès de l'armateur Achille Lauro et par suite de la faillite de sa compagnie, les bateaux de sa flotte furent mis aux enchères, y compris le célèbre paquebot qui poursuivit sa carrière sous pavillon sud-africain jusqu'au début de 1991, puis ensuite parti en Australie.
L'Achille Lauro joua son propre rôle en 1990 lors de la réalisation du film de télévision sur l'attaque des terroristes palestiniens. Le tournage se passa bien. Cependant, une actrice du téléfilm, Rebecca Schaeffer, fut assassinée peu de temps après son retour aux USA.
L'année 1994 devait mettre fin à l'odyssée de l'Achille Lauro. Le 30 novembre, alors qu'il se trouvait au large de la Corne de l'Afrique, un incendie se déclara à bord. Les passagers furent évacués sur Djibouti. On déplora 2 morts par crise cardiaque et 8 blessés. Le navire coula le 2 décembre.
Toutes ses tribulations ne découragèrent pas la clientèle. L'Achille Lauro connut de brillants succès dans quelques somptueuses croisières.

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