Hibiscus l'Enchanteur
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 Les secrets des devas

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Orion
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Orion


Date d'inscription : 17/11/2011
Localisation : Nord

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MessageSujet: Les secrets des devas   Les secrets des devas EmptyVen 21 Mar - 20:23

Jardinier et franciscain, Pierre nous introduit dans
le monde des génies de la nature
avec lesquels il collabore quotidiennement

NEXUS : Vous dites faire appel aux devas, de quoi s'agit-il ?

Pierre : Le mot vient de l'Orient, de l'Inde en particulier... Les devas sont des énergies qui ont des compétences plus ou moins grandes, plus ou moins importantes selon leur degré d'avolution. les tout petits devas, que l'on appelle aussi des élémentaux, ne savent s'occuper que d'une chose,  par exemple  faire monter la sève dans la plante, et sont donc "commandés" par des devas plus expérimentés, qui voient plus large, comme un contremaître dans un atelier. À Findhorn (voir encadré), c'est avec les devas que s'entretenaient les créateurs du jardin.
Les devas sont donc des intelligences actives, des élémentaux, absolument indispensables à la vie, toute vie sur la terre. Nous-mêmes, d'ailleurs, nous avons des devas qui gèrent la circulation de notre sang ou de nos humeurs et nous avons un deva général qui gère l'ensemble, le contremaître qui fait que tout le monde est à son poste et que tout se passe bien.

Comment savez-vous qu'ils existent ?
Je ne suis pas un grand spécialiste du travail avec les devas, je le fais assez au pifomètre quand même. Je n'ai pas de technique particulièrement pointue, particulièrement efficace que je pourrais décrire. Le jardin de Findhorn témoigne qu'il y a des gens plus doués que moi pour parler aux devas, qui d'ailleurs les voient, ce qui n'est pas mon cas. Moi, je les devine, je sens  qu'ils  sont là. Disons que j'ai la sensation que ça marche  et je le  fais régulièrement.

Un exemple concret ?
En ce moment, il y a beaucoup de limaces qui attaquent le jardin, et pourtant, les plantes se défendent parfaitement bien, parce qu'on les aide en parlant aux devas, on les encourage, on va demander au deva de synthèse de s'interposer ou de faire quelque chose.
Je me souviens, une année, les navets avaient été attaqués par un insecte, les feuilles étaient devenues des passoires, complètement ravagées. Je me suis dit que la récolte était perdue.
Il ne faut pas s'adresser au chou lui-même, ça c'est le corps du deva. Le deva est l'énergie intelligente qui habite le chou.


Alors j'en ai parlé au deva et je n'ai rien fait d'autre. Peu de temps après, je ne sais comment l'expliquer, les navets sont repartis, ils ont refait des feuilles et nous avons eu une belle récolte. Bon, c'est un peu fumeux, un peu vague, mais je suis sincère.


Comment pratiquez-vous ?
Le deva général du jardin, par exemple, je sais parfaitement à quel moment il est là. Pour qu'il soit efficace, le jardin doit être bien délimité afin que le deva reconnaisse son territoire ; il faut ensuite que les planches soient entamées, qu'il y ait des plantes qui commencent à pousser et alors il intervient.

Findhorn : l'aventure continue

Communauté installée en Écosse, Findhorn a été créée en 1962 par Peter et Eileen Caddy, Dorothy Maclean afin de développer un art du jardinage fondé sur la communication avec les esprits de la nature. Très vite sont apparus sur cette lande désolée des jardins d'une richesse extraordinaire  qui  ont fait la notoriété de Findhorn


à travers le monde.
Reconnue en 1997 comme "ONG associée" par l'ONU avec la mission d'implémenter l'Agenda 21 la communauté développe aujourd'hui de nombreuses activités de formation et de recherche et accueille environ 15000 personnes par an.
Site :
http://www.findhorn.org

Il ne faut pas s'adresser au chou lui-même, ça c'est le corps du deva. Le deva est l'énergie intelligente qui habite le chou.

« Comment ne pas leur être reconnaissant ? »

Comment  parle-t-on aux devas ?

D'abord en admirant la plante... Vous voyez ce chou ? Eh bien, si vous voulez parler aux devas, dans votre imagination, il ne faut pas s'adresser au chou, aux feuilles du chou, ça c'est le corps du deva, c'est sur quoi il agit, son domaine. Il faut imaginer que le devas est l'énergie intelligente qui habite ce chou, s'en occupe, le fait pousser et mûrir. Et donc vous ne vous adressez pas aux devas en regardant le corps de la plante. C'est une première chose.

Ensuite, vous ne pouvez leur parler qu'avec amour, reconnaissance... Comment voulez-vous ne pas être reconnaissant vis-à-vis d'une intelligence aussi raffinée, aussi persévérante ? Quand vous voyez un brin d'herbe qui traverse le goudron au bord de la route, vous dites : "Le deva qui est là a vraiment du mérite!"
En travaillant avec les devas, on est toujours invité à être conscient d'un tout où tous les engrenages se connaissent, interagissent, s'entraident et où il y a une âme, une âme de la chose, une âme de l'ensemble c'est aussi ça, le deva de synthèse, c'est l'âme du jardin. Donc on est invité à s'émerveiller devant pareille orchestration. Je trouve ça magique, magnifique, ça n'a plus rien à voir avec les rendements, les espèces, avec toutes les préoccupations de taille, de poids, etc. On regarde le miracle s'accomplir.
Justement, les rendements ?
Nous n'avons pas encore assez de recul, mais nous avons eu de beaux résultats sur l'ensemble des légumes avec, par exemple, un chou de 9,6 kg ! En revanche, cette année sera moins bonne, car nous venons de tout mettre en permaculture (*) et nous avons commis une erreur de méthode par rapport au climat, à cause de notre manque d'expérience dans le domaine. Les devas ne peuvent pas tout compenser...

Aucun traitement chimique...
Évidemment, jamais de chimie. Il y a tout ce qu'il faut dans la terre...

Même contre les parasites ?
Grâce à cette conscience du jardinier et à la complicité avec le deva général, j'ai constaté bien des fois, je peux le dire, qu'on n'a qu'à regarder les plantes se défendre, comme les navets dont je vous ai parlé. De même ce chou rouge vient de subir une attaque de chenilles. Je lui ai parlé, j'ai parlé aux devas et je l'ai encouragé à se défendre, j'ai demandé au grand deva général d'activer les choses, de faire ce qu'il fallait,  Justement, les rendements ?


Aucun traitement chimique...
Évidemment, jamais de chimie. Il y a tout ce qu'il faut dans la terre...

Même contre les parasites ?
Grâce à cette conscience du jardinier et à la complicité avec le deva général, j'ai constaté bien des fois, je peux le dire, qu'on n'a qu'à regarder les plantes se défendre, comme les navets dont je vous ai parlé. De même ce chou rouge vient de subir une attaque de chenilles. Je lui ai parlé, j'ai parlé aux devas et je l'ai encouragé à se défendre, j'ai demandé au grand deva général d'activer les choses, de faire ce qu'il fallait, même si ces chenilles, il faut bien qu'elles vivent. Aussi curieux que cela puisse paraître, ça s'est arrêté : les chenilles ont disparu du jour au lendemain, je ne sais pas comment, mais il n'y en avait plus et le chou n'a pas été dévasté.
► Bernard a «testé» les devas

Nous avons choisi deux parcelles qui avaient un historique proche afin de limiter les différences. Sur l'une des deux, nous avons effectué un travail de connexion à ces esprits de la nature, en pratiquant un rituel au début de la culture. Ce n'est pas moi qui l'ai fait directement, je me suis fait accompagner par quelqu'un qui a l'habitude de travailler avec ces énergies-là. Pendant que la culture se développait, nous n'avons pas observé de différence significative entre les deux parcelles. En revanche, nous avons constaté, lors de la récolte que la parcelle où nous n'avions pas pratiqué le rituel atteignait à peine trente quintaux à l'hectare, tandis que l'autre en était à peu près à quarante-quatre quintaux ! Cela fait une différence de près de 50% pour un travail immatériel en apparence. Nous ne nous attendions pas à une telle différence. Mais voilà, la surprise fut grande et heureuse. Cela nous encourage évidemment à continuer dans cette voie et à faire d'autres expériences l'année prochaine.»



Est-ce que tout le monde peut travailler avec les devas ?
Je dirais qu'on ne peut pas travailler avec les devas, forcément, mais on en est plus ou moins conscient, c'est sûr. Et à mon avis, on leur facilite le travail si l'on est conscient de ce qu'ils font. C'est comme quand vous marchez sur un chemin : les petites fleurs du chemin nous voient passer. Si vous êtes conscient qu'elles sont là et de ce qu'est un être humain, une trinité qui se déplace, qui est là, consciente, plantée dans l'être parfait, vous pouvez les regarder et leur dire : "voila ce qu'est un être humain. Eh bien, un jour, - ce n'est évidemment pas à l'échelle d'une vie humaine - , un jour vous viendrez dans le règne humain à votre tour et pour le moment, vous réjouissez les yeux de ceux qui vous regardent." C'est une communion, il y a une osmose, on est avec, on est dedans. Bien sûr que personne ne devrait ignorer les devas.

Note
(*) La permaculture est une science systémique qui a pour but la conception, la planification et la réalisation de sociétés humaines écologiquement soutenables, socialement équitables et économiquement viables.

Eux aussi...
Sylvie Hetzel, Nature, au-delà du silence, éd. Co-créative, 2006.
Yann Lipnick, Les esprits de la Nature et les mystères de Gaïa, éd. Ôvilorôi, 2007.
Christophe Allain, Journal d'un éveil du 3e œil, éd. Interkeltia, 2009.  

http://www.aucoeurdelanature.com/dossier_secrets_devas.htm
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