Hibiscus l'Enchanteur
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 Et si les coïncidences avaient un sens ?

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Orion
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Orion


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MessageSujet: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 5 Mar - 14:46

Jung et les synchronicités



Et si les coïncidences avaient un sens ?

Notre monde fourmille de coïncidences qui peuvent être frappantes. Carl Gustav Jung a défini la synchronicité comme une coïncidence temporelle de deux ou plusieurs événements sans lien causal entre eux et possédant un sens identique ou analogue. Quel est donc le sens de ce lien, qui ordonne la matière comme une danse, sans logique apparente ?

Nous pensons généralement en termes de causalité formelle : parce qu’il y a du soleil, j’ai chaud. La physique classique, dont le discours sous-tend notre vision du monde, fonctionne selon ce principe. A produit B. En marge de cette causalité règne un hasard aveugle, émaillé de coïncidences, qui peuvent être frappantes. Nous ne nous y attardons pas, pensant qu’elles sont forcément fortuites. Mais il existe dans la nature un autre type de relation, synchrone et acausal, mis en évidence par la physique quantique. Ce lien qui ordonne la matière comme une danse, il n’a pas de logique, mais il produit de l’harmonie.
Avec la notion de synchronicité, Carl Jung élabore la même affirmation sur le plan psychique. Jung définit la synchronicité comme « coïncidence temporelle de deux ou plusieurs événements sans lien causal entre eux et possédant un sens identique ou analogue». Une image inconsciente pénètre la conscience – sous forme d’idée, de symbole, de rêve ou de prémonition – et une situation objective coïncide avec ce contenu. C’est l’observateur qui confère une valeur à la synchronicité. Elle est plus qu’une coïncidence. Elle va bien au-delà du pur hasard et révèle un fonctionnement global où matière et psyché sont deux faces d’une même réalité.
L’exemple classique présenté par Carl Jung est celui d’une patiente aux prises avec un blocage rationalisant, dont l’analyse patine. Elle lui raconte un rêve dans lequel elle reçoit un scarabée d’or. Soudain, un bruit à la fenêtre. Jung va voir : « Le voilà votre scarabée » dit-il, attrapant l’insecte qui vient de se cogner contre la vitre. Il s’agit d’une cétoine dorée, version européenne du scarabée d’or. Le carcan rationaliste de la patiente vole en éclat, elle peut avancer dans son analyse. La synchronicité nous surprend, nous saisit. Elle peut fournir l’impulsion à un changement nécessaire. Ce type d’exemples abonde en clinique. Certains auteurs ont fait de la notion de synchronicité un pilier de leur approche de l’existence. Ils invitent les lecteurs à en tenir compte dans leur vie quotidienne, à s’en servir de boussole, des résonances indiquant que nous sommes « en phase » avec notre destin. Sans tomber dans le piège de la pensée magique qui consiste à croire que parce que l’on a pensé quelque chose, cette chose s’est produite, nous pouvons enrichir notre approche de l’existence.
Enfin, la synchronicité est à la source de nombreuses créations artistiques. Elles sont parfois plus que de simples produits de l’imaginaire. Le créateur de Corto Maltese Hugo Pratt (3) en avait fait un art de vivre. Les synchronicités venaient enrichir son œuvre et se répercutaient aussi sur sa vie, de telle sorte que réel et imaginaire se chevauchaient sans cesse.
L’émergence de synchroncités est courante au cours des processus thérapeutiques.
Voici un exemple relaté par le psychanalyste Pierre Solié dans La synchronicité, l’âme et la science :
Des confrères lui adressent un jour Laure, 24 ans, étudiante en psychologie, dépressive. Sa mère est morte 9 ans plus tôt, et son père absent. A l’époque où Laure devient sa patiente, Pierre Solié est lui-même en plongée « dans l’archétype de la Grande Mère et de ses fils – et filles – amants. Sa propre mère est morte lorsqu’il avait onze ans, raison pour laquelle il accepte de vivre avec Laure le deuil pathologique de sa mère. Au bout de la troisième séance, Pierre Solié se rend compte que Laure a besoin de se construire, grâce au Livre des morts tibétain et à celui des Egyptiens, un imaginal de la vie après la mort, « que lui avait radicalement interdites et ses études « sèches » de psychologie, et ses rencontres avec les thérapeutes antérieurs niant toute réalité au monde des Images-archétypes. »
Avec son thérapeute, elle se livre à ce travail de construction, qui se poursuit par la reconstitution de l’appartement de son enfance… tout proche de celui que Pierre Solié habitait à la même époque. Quelque temps plus tard, elle lui apprend que son village natal est aussi celui de ses ancêtres ! Ce qu’il vérifia grâce à des documents qu’elle lui fournit.
« Nous voici donc avec Laure en présence de trois niveaux, trois stades, trois nœuds de la mémoire(…) entrant en interférence, en coïncidence de phase avec les miens » écrit Pierre Solié. Un nœud mémorial commun à l’humanité entière, l’imaginal égyptien de la mort, primordial à l’époque pour le thérapeute et sa patiente, en lien avec le décès de leur mère ; un nœud mémorial de lignage, « celui des ancêtre qui l’enracinait dans la même terre d’origine que la mienne » ; et enfin « un nœud mémorial individuel, celui de son propre lieu de naissance, proche de mon appartement à l’époque la plus significativement dramatique de sa vie ».
Et Pierre Solié de conclure : « Etranges coïncidences à travers l’espace et le temps. Etranges « connexions acausales » qui font sens – ô combien – pour Laure et pour moi… »
La synchronicité de la rose

Dans Le désir d’être inutile, Hugo Pratt relate cette synchronicité qui le marqua profondément : « alors que les alchimistes recherchent la rosa alchemica, j’ai fait l’expérience de la rose qui venait à ma rencontre. Pendant mon séjour en Argentine, j’étais allé dans une petite station balnéaire au bord de l’Atlantique. C’était le mois de juin- et donc pour l’hémisphère sud, l’hiver. La ville, surpeuplée en été, était déserte. Les vitrines des boutiques étaient recouvertes de panneaux de bois, le sable envahissait les rues. J’aime me promener dans les villes désertes, et j’étais donc content de cette relation privilégiée. J’habitais seul dans une petite maison que j’avais louée. Un matin, en sortant, je trouve une rose accrochée dans le grillage autour de la maison. D’où pouvait venir cette rose ? Est-ce que quelqu’un l’avait mise là à mon attention ? Mais il n’y avait personne dans les environs… Cette rose reste pour moi un mystère. »
La rosa alchemica réapparait dans Les Scorpions du désert. C’est le titre du livre de William Butler Yeats que lit le personnage Judditah Canaan. Un traître assassinera la jeune fille en lui offrant un bouquet de roses empoisonnées.
Plus tard, Hugo Pratt s’est rendu sur la tombe de Yeats en Irlande. Une personne dans une taverne près de Dublin lui a lancé : « Hugo Pratt ? – Oui – Vous venez pour Yeats ? ». C’était bien le cas. Et une autre qu’il ne connaissait pas lui a dit, alors qu’il se tenait près de la tombe du poète, à Drumcliff: « Comment ça va ? Ca fait longtemps qu’on ne s’est pas vu. » Le transfert entre Yeats et Pratt s’était effectué, comme il y a un transfert permanent entre Pratt et son héros Corto Maltese.

Psychologies
La physique peut-elle contribuer à la compréhension de la psyché ?

C’est ce que pensait Carl G. Jung. Pendant plus de trente ans, il entretint une correspondance avec le grand physicien Wolfgang Pauli. La notion de synchronicité en fut l’un des grands thèmes.

©️ acropolis

En 1949, parlant de la synchronicité, Jung écrivit à Pauli : « Les physiciens sont aujourd’hui les seuls à s’intéresser à ce genre d’idées. » La synchronicité est entendue comme une coïncidence entre un état psychique et un événement non psychique. Dans le monde matériel, il se produit quelque chose qui fait écho à l’état psychique de l’observateur avec une telle force que ce dernier en est bouleversé.
Cette synchronicité est frappante parce que tout en étant pour l’observateur riche de signification, elle échappe à la causalité formelle qui régit les lois de la physique classique. Selon cette causalité, A produit B. Nous avons l’habitude de la considérer comme seule valable, toute autre coïncidence relevant du pur hasard.
Mais la physique quantique pose l’existence d’un autre type de « causalité » : le principe qui ordonne la matière, au niveau microscopique, n’est en effet pas la causalité formelle, mais une sorte de danse synchrone. Il existe donc à l’œuvre un principe qui n’est ni cette causalité classique, ni le hasard, régissant le microscopique.
Quel rapport entretienne donc l’esprit et la matière ? Comment qualifier ce rapport ? En référence aux expériences de psychokinèse ( action de l’esprit sur la matière) de J.B. Rhine sur les jets de dés, aux résultats significatifs, Jung avance dans une lettre à Pauli : « il est plus vraisemblable que toutes deux (matière et psyché) ont en fait la même propriété, qu’elles sont toutes deux contingentes à un niveau plus profond et empiètent l’une sur l’autre sans se soucier de leur détermination causales respectives. »
La physique quantique suggère qu’il existe une dimension hors de l’espace et du temps, où tout est lié. C’est l’hypothèse du physicien David Bohm : Notre monde d’objet tridimensionnel d’objets est l’ordre explicite, ou déplié ; Cet ordre se déploie selon « une base au-delà du temps » : l’ordre implicite ou implié, arrière-plan de la totalité de l’expérience. Esprit et matière se déploient donc à partir d’une base commune, au-delà de l’espace et du temps, dont les synchronicités sont en quelque sorte l’expression.
Autre apport de la physique quantique, l’objet observé est inséparable de l’observateur. « Lorsque ces phénomènes dépendent de la façon dont ils sont observés (agencement de l’expérience), n’y a –t-il pas alors peut-être aussi des phénomènes qui dépendent de la personne qui les observe (c’est-à-dire de la psyché de l’observateur) ? » avance Wolfgang Pauli. Autrement dit, l’observateur dans une certaine mesure, ne crée-t-il pas le monde ?
De ces échanges entre Jung et Pauli, on ne doit pas déduire que le phénomène de synchronicité est scientifiquement prouvé. Mais s’aventurant au-delà de leur discipline respective, mus par le désir de comprendre, ils nous invitent à porter un regard nouveau sur les coïncidences à l’œuvre dans nos vies.

Psychologies
L’inconscient collectif, une notion clé de la pensée de Jung

Selon le psychiatre suisse Carl Gustav Jung , l’inconscient collectif constitue « une condition ou une base de la psyché en soi, condition omniprésente, immuable, identique à elle-même en tous lieux ».

L’inconscient selon Jung comporte plusieurs dimensions. « Il ne s’agit pas de nier l’inconscient freudien mais de voir qu’il y a une couche beaucoup plus profonde d’inconscient dans lequel le sujet n’est plus enfermé sur lui-même mais ouvert à de l’inconnu » explique Michel Cazenave qui ajoute : « Il ne faut pas rester dans l’idée d’une créature qui est complètement enfermée dans son histoire personnelle. Ma psychologie n’est jamais que le champ dans lequel se manifeste quelque chose qui est bien au-delà de moi. C’est la différence fondamentale avec Freud. Pour lui, nous naissons ‘table rase’ et nous ne sommes que le résultat de toutes nos expériences, de nos refoulements. »
Dans l’âme, Jung distingue trois degrés : 1. La conscience ; 2. L’inconscient personnel (contenus oubliés ou refoulés, perceptions sensibles qui n’ont jamais atteint la conscience tout en pénétrant dans la psyché) ; 3. L’inconscient collectif, héritage de possibilité représentatives, qui n’est pas individuel, mais généralement humain, même généralement animal, et constitue le fondement proprement dit du psychisme individuel.  Jung ajoute : « l’inconscient qui est l’ensemble de tous les archétypes, est le dépôt de tout ce que l’humanité a vécu, en remontant à ses plus obscurs commencements, non pas un dépôt mort, sorte de champ de ruines abandonnées – mais un système de réactions et de disponibilités qui déterminent la vie individuelle par des voies invisibles et par suite, d’autant plus efficaces. »
Dans L’Ultime Voyage, la conscience et le mystère de la mort, le psychiatre Stanislav Grof relate un cas qui selon lui illustra magistralement l’existence de cet inconscient jungien. Lorsqu’il travaillait à l’Institut de recherche psychiatrique de Prague, il avait pour patient Otto, un jeune homme qui souffrait de dépression et thanatophobie, une peur pathologique de la mort. Au cours de l’une de ses séances, Otto vécut une séquence très forte de mort et renaissance psychospirituelle. « Il eut la vision d’une divinité porcine terrifiante qui gardait l’entrée d’un souterrain sinistre. Au même instant, il éprouva le besoin impérieux de dessiner un motif géométrique précis. » Sanislav Grof raconte qu’Otto usa beaucoup de papier à essayer de dessiner « comme il fallait » de mystérieux motifs géométriques.
Il ne comprit pas cet épisode, et n’en eut la clé que bien des années plus tard, après sa rencontre avec le mythologue Joseph Campbell, à qui il raconta un jour ce qui était arrivé à Otto. « Comme c’est intéressant ! » s’exclama Joseph, et sans l’ombre d’une hésitation : « C’était visiblement la Mère Cosmique de la Nuit de la Mort, la déesse mère des Malékuléens de Nouvelle Guinée. » Joseph Campbell expliqua alors à Stanislav Grof que cette divinité avait l’apparence d’une figure féminine effrayante, aux traits nettement porcins. « D’après la tradition malékuléenne, elle se tenait à l’entrée du monde souterrain et gardait le labyrinthe sacré, très complexe. (…) Au cours de leur vie, les Malékuléens passaient beaucoup de temps à dessiner des labyrinthes, car la maîtrise de cet art était considérée comme essentielle à la réussite de leur voyage dans l’au-delà. »
Pour quelqu’un qui comme Otto, souffre de thanatophobie, le choix du symbolisme malékuléen semble particulièrement adapté. Mais dans ce cas, elle resta un mystère. « Le fait que ni moi, ni Otto n’avions la moindre connaissance intellectuelle de la culture malékuléenne corrobore une nouvelle fois la notion jungienne d’inconscient collectif » conclut Stanislav Grof.

https://melusinefee.wordpress.com/2018/04/02/jung-et-les-synchronicits/
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMer 6 Mar - 20:40

Merci orion
C'est intéressant et passionnant.
j'ai le sentiment comme beaucoup qu'il y a bien une dimension hors espace, hors temps ou tout semble lié. ..ce n'est qu'un sentiment ☺️ bonne soirée à vous deux
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Orion
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyJeu 7 Mar - 11:29

Bonjour Alnilam,

Oh oui !!! j'en suis de plus en plus convaincu. Papa Jung avait mille fois raison. ET si on sait bien regarder on en reçoit chaque jour.

J’espère que vous allez bien tous les deux et vous souhaite une merveilleuse journée (un peu arrosée) flower
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyJeu 7 Mar - 17:12

Oui on reçoit chaque jour tu as entièrement raison. Isa et moi allons bien. Que la force soit avec vous a dit le petit homme vert.
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Dania (15)

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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyDim 7 Avr - 16:59

Et si les coïncidences avaient un sens ? 546d5548  Je pense que les coïncidences ont un sens. Le hasard n'existe pas. Lorsque nous sommes prêts, nous sommes dirigés vers telle ou telle chose pour nous aider à apprendre encore plus, à  ouvrir notre conscience.
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alnilam

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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyDim 7 Avr - 18:33

Oui ouvrir encore un peu plus notre conscience et lorsque sur notre chemin nous avons le bonheur de rencontrer des personnes comme orion. ..c'est enrichissant. Un grand merci à toi orion et à ta moitié pour toute l'aide apportée. Merci à toi dania pour le partage. Une très bonne soirée.à vous ☺️
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Orion
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Orion


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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyLun 8 Avr - 8:27

Bonjour alnilam

Merci à toi c'est très gentil. Voici une phrase très intéressante de Jack Yeats le frère de William qui était aussi poète mais aussi un peintre exceptionnel "L'artiste ne crée pas il ne fait que se souvenir de ce qui a toujours été" A méditer. Bonne journée à tous les deux.
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyLun 8 Avr - 8:34

Oui Dania je pense aussi que ce que nous appelons hasard n'existe pas mais à partir de là c'est surtout notre état de conscience qui forme notre existence et en même temps tout a toujours été. Si nous l'acceptons cela se passera beaucoup mieux que si nous nous en mêlons avec notre petit égo surdimensionné mais je peux me tromper cheers Very Happy I love you
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyLun 8 Avr - 9:22

Peut être que toute leur vie des personnes sont à la recherche d'un secret, d'une quête.
Dans hibiscus quand ilona demande à kennette son secret. Il résume tout ce qui est:
"Je n'ai pas de secret, je lâche complètement prise en toute confiance, l'univers s'exprime, ce qui compte le plus c'est le sentiment profond que nous avons en émettant les sons.c'est tout "
A méditer
l'univers s'exprime inexorablement.
Comme pour là création d'une toile nous avons en nous le pinceau pour façonner la toile. Une très bonne journée à vous.
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 8:25

Oui c'est tout à fait juste tu as tout compris, c'est la sagesse et j’espère que tu nous en fera profiter dans un second livre que nous attendons avec impatience. Merveilleuse journée à tous les deux.flower cheers
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 8:58

Tout compris. Ce n'est pas le terme approprié lol. Pour la sagesse ma dernière dent est sur le point de sortir entièrement. Il n'y a pas d'âge. Comprendre c'est appliqué ce que l'on semble avoir assimilé. Ce n'est pas mon cas. Je m'efforce juste de ne pas couper le lien profond avec la nature. J'aime me promener dans les bois pour me ressourcer. C'est mon équilibre. Une très bonne journée à vous.
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 11:40

Et tu dis que le terme n'est pas approprié alors qu'est-ce qu'il te faut, le fait de te promener dans les bois de te connecter à la nature et méditer, qui y a t-il de plus ?

Bonne promenade flower flower Bonne journée à vous deux
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 12:27

Oui il n'y a rien de plus. ce lien est profond. Lorsque je me lève le matin et que je vois la constellation d’orion je me sens connecté. Mais au fond de moi je ressens que nous n’appréhendons qu’une infime partie de cette merveilleuse énergie. Je limite de ce fait ma vision du champ ou tout est possible. Je sais que toi tu comprends au combien, cet état d'esprit. Car tout n'est qu’état de conscience. Merci pour le partage.
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 14:37

Tout à fait merci à toi alnilam. Oui je comprend (du moins j'essaye) mais de toute façon nous ne pourrons jamais appréhender le Tout bien qu'il soit en nous. Comme le disait le Grand Maitre 'Redevenez comme les petits enfants' qui ne se posent pas toutes ces questions et qui vivent l'instant présent tout simplement. flower
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMar 9 Avr - 16:39

Je pense être un enfant qui pose beaucoup de questions
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMer 10 Avr - 11:44

Normal comme tout les enfants et pourtant le réponse est si proche........ parfois.

Très bonne journée à vous deux flower
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MessageSujet: Re: Et si les coïncidences avaient un sens ?   Et si les coïncidences avaient un sens ? EmptyMer 10 Avr - 12:14

Merci pour le partage
Une très bonne journée à vous deux également
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